Olivia Charlet, micronutritionniste, nutrithérapeute et naturopathe, auteure du livre Je débute mon jeûne intermittent, a dévoilé la méthode la plus efficace à nos confrères de Top Santé.
Une étude sur la malbouffe particulièrement inquiétante…
Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Californie du Sud (États-Unis) a démontré les effets de la junk food sur la mémoire des adolescents !
Une étude menée sur les rats
Pour mener à bien leur étude, les scientifiques de l’Université de Californie du Sud (États-Unis) ont observé pendant plusieurs jours deux cohortes de rats, dont l'une était nourrie d'un régime déséquilibré au moment de l'enfance et de l'adolescence avant de passer à une nourriture saine à l'âge adulte.
Puis, les experts ont mené des expériences pour analyser la mémoire épisodique (celle des événements vécus) de chaque cohorte de rats. Et les résultats sont sans appel ! Les rats qui avaient subi un régime déséquilibré ne montraient aucun signe de souvenir, à l’inverse des rats qui avaient suivi un régime normal.
Des résultats similaires sur les humains ?
Selon les chercheurs, tout est une question de sécrétion de l’acétylcholine, un neurotransmetteur qui a un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de l'hippocampe, la zone cérébrale responsable de la mémoire et de l’apprentissage.
La malbouffe a empêché la bonne sécrétion de l’acétylcholine chez les rats mal nourris. Résultat ? Leur développement cérébral a été impacté de manière négative. Et le pire dans tout ça, c’est que passer à un régime sain à l’âge adulte n’a rien changé à leur mémoire.
Reste à savoir si les recherches à venir observeront ces mêmes conséquences chez les humains…
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