Saviez-vous que votre cycle hormonal influence vos besoins nutritionnels tout au long du mois ? En ajustant votre alimentation à chaque phase, vous pouvez soutenir votre énergie, votre humeur, et même réduire certains inconforts. Découvrez comment adapter votre alimentation à chaque étape de votre cycle !
Face à l'augmentation de l'obésité en France, notamment chez les jeunes, des solutions pour encourager une alimentation plus saine sont nécessaires. L'institut Montaigne a récemment proposé une mesure choc : taxer les produits sucrés pour financer un chèque de 30€ par mois destiné aux personnes modestes, pour l'achat de fruits et légumes. Cette initiative permettrait de lutter contre la précarité alimentaire, tout en incitant à consommer davantage de produits sains.
Un chèque alimentaire pour les plus modestes
En France, le lien entre la malbouffe et les inégalités sociales est frappant : les personnes en situation de précarité sont souvent les plus touchées par les problèmes d’obésité et de santé liés à une alimentation de mauvaise qualité.
« Ce rapport souligne l’augmentation de l’insécurité alimentaire, dont les premières victimes sont les plus jeunes et les plus âgés, en perte d’autonomie », souligne Marie-Pierre de Bailliencourt, directrice de l'institut Montaigne.
Pour réduire cette fracture alimentaire, l’institut propose un chèque mensuel de 30€, destiné à l'achat de fruits et légumes, financé par une taxe sur les produits sucrés comme les confiseries, céréales de petit-déjeuner et pâtisseries industrielles.
Taxer le sucre : une incitation à mieux consommer ?
L’instauration d’un taux de TVA unique de 20% sur les produits sucrés permettrait de récolter 1,2 milliard d’euros par an, de quoi financer le chèque pour les plus modestes.
Selon l’institut Montaigne, cette taxe serait aussi un moyen de réduire la consommation de produits sucrés en rendant les produits sains plus accessibles. « On sent une réelle envie des distributeurs et des grands noms de l’agroalimentaire de s’impliquer pour proposer des produits sains et durables », ajoute la directrice.
Cette taxation incitera-t-elle les consommateurs à changer leurs habitudes ? Sans actions de sensibilisation, le doute est permis.
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