On fait le tri dans son dressing et privilégie les fringues et accessoires à la pointe de la mode pour l’année 2019. Parmi eux, quels sont ceux à adopter si l’on a quelques rondeurs et kilos en trop que l’on souhaiterait dissimuler ? Les tendances vestimentaires 2019 pour avoir une silhouette de rêve, quelles sont-elles ? On vous les liste !
Pour garantir de la transparence aux consommateurs mais aussi faire honneur à la gastronomie française, le gouvernement indique qu’une mention “fait maison” devra prochainement figurer sur les cartes de tous les restaurants du pays.
Si la France est connue dans le monde entier pour la finesse et la richesse de sa gastronomie, le pays compte bon nombre de restaurants qui servent des plats industriels déjà préparés… des restaurants qui devront bientôt le préciser auprès de leur clientèle. C’est en tout cas ce que souhaite pour 2025 la ministre déléguée des PME, du commerce, de l’artisanat et du tourisme, Olivia Grégoire, comme elle l’a annoncé le 22 octobre à la rédaction de La Tribune Dimanche. “Au plus tard en 2025, peut-être même dès l’année prochaine, tout plat non ‘fait maison’ devra désormais être signalé sur les cartes”.
Que commander au restaurant quand on surveille sa ligne ?
Facultative depuis 2014, la mention “fait maison” sera obligatoire dans tous les restaurants de France
Si un label avait été créé en 2014 afin de permettre aux restaurateurs d’ajouter la mention “fait maison” sur leurs cartes, celle-ci était jusque-là facultative et surtout peu utilisée. Cette nouvelle mesure qui concerne l’ensemble des 175 000 restaurateurs de France vise ainsi à “mieux informer le consommateur et valoriser nos restaurateurs qui proposent de bons petits plats faits maison”, a expliqué la ministre sur X (ex-Twitter). Des restaurateurs qui n’ont pas été épargnés ces dernières années, entre la crise du Covid et l’inflation qui touche les produits alimentaires mais aussi les prix de l’énergie.
Une mesure qui vise à préserver la gastronomie française
“Impossible au pays de la gastronomie de ne pas clairement informer le consommateur” et de ne pas lui apporter “davantage de transparence”, qu’il s’agisse d’un habitué ou d’un touriste, fustige en effet le ministère. Car au-delà de l’enjeu de santé publique autour de la notion du bien manger, c’est la préservation de la gastronomie nationale qui est en jeu, une cuisine classée au patrimoine culturel immatériel mondial de l’Unesco en 2010.
Gageons que cette mention signalant “les plats cuisinés ou transformés par le restaurateur, sur place, à partir de produits frais crus” la rende digne de sa réputation !
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