Vous souhaitez paraître plus mince ? Si le sport et une alimentation équilibrée vous aideront à perdre du poids, il est également possible d’user d’astuces vestimentaires toutes simples pour fondre en un clin d'œil.
Le court-métrage d’animation Reflect met en scène les doutes et la dysmorphie corporelle auxquels Bianca, une jeune fille ronde, se bat lors d’un cours de danse classique.
Mise en ligne en septembre dernier sur la plateforme de streaming Disney +, Reflect a déjà conquis le cœur des internautes. Il faut dire que le court-métrage de la franchise aborde pour la première fois la question de la grossophobie et la lutte pour l’acceptation de soi. Des thèmes au cœur de l’actualité, dans une société où l'obsession de l’image, les diktats de la beauté et les injonctions à la minceur continuent de nourrir les complexes de nombreuses jeunes filles.
Une héroïne obsédée par son corps
Ce nouveau court-métrage produit dans le cadre de Short Circuit, un programme de mini-films expérimentaux conçus pour Disney +, a pour héroïne Bianca, une jeune ballerine en surpoids. On la voit assister à un cours de danse et perdre ses moyens, face à une professeure qui ordonne à ses élèves d’avoir “le ventre serré et le cou allongé” et devant un miroir qui se montre de plus en plus menaçant.
Un court-métrage qui fait la part belle au bodypositivisme
Les dommages psychologiques causés par la grossophobie et la dysmorphie corporelle, ce trouble psychiatrique qui fait du complexe une véritable obsession, la réalisatrice Hillary Bradfield y a déjà été confrontée et c’est précisément pour cette raison que le message délivré par Reflect lui semble nécessaire. Dans une interview accordée à CNN, celle que l’on retrouvait déjà derrière les projets La Reine des Neiges 2 et Encanto espère que le court-métrage aidera celles et ceux qui le regarderont à se “sentir plus bienveillants avec eux-mêmes et avec leur apparence, et qu’ils se sentiront en confiance pour affronter les difficultés de la vie”. Une ôde au bodypositivisme et à l’acceptation de soi qu’il était, en effet, grand temps de montrer aux jeunes filles en proie aux doutes…
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