Vous vous sentez fatigué·e en ce moment ? Cette liste d’aliments devrait vous aider à retrouver la pêche !
Le soda n’est pas le seul responsable de cette maladie qui porte son nom !
Cette maladie gagne du terrain ces dernières années. On estime qu’entre 25% et 30% de la population mondiale est concernée…
La maladie du soda, c’est quoi ?
Si l’on vous dit « maladie du soda », « maladie du foie gras » ou « NASH » (pour « stéato-hépatite non alcoolique », en français), vous n’y comprenez pas grand chose ? Et pourtant, cette maladie gagne du terrain ces dernières années. À tel point que l’on estime qu’entre 25% et 30% de la population mondiale est concernée.
Si bien que chaque année, depuis le 8 juin 2018, est célébrée la journée internationale de la Nash. Le but ? Sensibiliser la population à cette maladie encore trop méconnue malgré son expansion à travers le monde…
La maladie du soda ou NASH correspond à une accumulation de graisse dans le foie, associée à une inflammation de l’organe. Avec le temps, cette pathologie cause de sérieux dégâts semblables à ceux provoqués par une consommation chronique d’alcool : cirrhose et cancer du foie.
Comment la reconnaître ?
Les personnes touchées par la maladie du soda sont celles qui ont une consommation quotidienne d'alcool - à partir de 2 à 3 verres par jour - et/ou qui ont une alimentation trop riche en graisses et en sucres (d’où le nom de « maladie du soda », le soda étant bourré de sucres !).
Les personnes en surpoids et/ou atteintes de diabète de type 2 sont aussi plus à risque de contracter la maladie.
Les premiers signes de la maladie du soda apparaissent tardivement, lorsque la cirrhose s'est développée après quelques années. Toutefois, il existe certains signes qui peuvent alerter : des démangeaisons intenses, un ventre gonflé, un jaunissement de la peau et des yeux, des vaisseaux sanguins en forme d'araignée juste sous la surface de la peau, ou encore des troubles de l'élocution ou de la confusion.
S’il n’existe aucun traitement permettant de soigner la NASH, la pratique d'une activité physique régulière et une alimentation saine et variée peuvent avoir une effet positif sur la maladie et ralentir sa progression.
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